samedi 31 août 2013

Recette du gratin de pommes de terre au camembert


Recette du gratin de pommes de terre
au camembert
pour 4 personnes


ingrédients :
- 5 grosses pommes de terre
- 2 gousses d'ail
- 100 g de jambon "allumettes"
- 1/2 camembert
- 20 cl de crème fraîche
- Sel et poivre du moulin



Préchauffez le four à 210°C (thermostat 7)

Épluchez les pommes de terre, lavez-les, séchez-les soigneusement à l'aide d'un torchon propre. Détaillez-les en fines rondelles avec une mandoline.

Dans votre moule à gratin, déposez quelques lamelles de pommes de terre, salez et poivrez puis déposez de lamelles de camembert, recouvrez d'une couche de pommes de terre puis d'un peu d'ail émincé ou râpé, du sel, du poivre et des allumettes de jambon. Arrosez de crème fraîche et recouvrez d'une couche de pommes de terre, salez, poivrez, placez des lamelles de camembert. Recouvrez d'une couche de pomme de terre, des allumettes de jambon, de la crème fraîche et de l'ail. Salez, poivrez et recommencez l'opération jusqu'à épuisement des ingrédients.

Enfournez pour 30 à 35 minutes.

Servez avec une salade.


mercredi 28 août 2013

Angoisses de la séparation... mercredi 28 août 2013

HELP ME PLEASE

PAS FACILE DE SE SÉPARER !

LES ANGOISSES DE LA SÉPARATION CHEZ L’ENFANT

Ah les douloureuses « angoisses de la séparation » ! Nous les connaissons bien, car avec 3 enfants nous en avons vu un paquet (et continuons d’en voir) :
  • Les séparations pour la crèche (Lou y a été de ses 2 mois jusqu’à ses 18 mois)
  • Les séparations pour la nounou (Léo y a été jusqu’à ses 3 ans et demi, Lou et Lili y sont actuellement)
  • Les séparations pour l’école (Qui se sont pour le coup extrêmement bien passés pour Léo… il avait tellement hâte d’y aller ! )
  • Les séparations pour retourner chez « l’autre parent » (Léo vit chez sa maman à Paris la majorité de son temps, et chez nous pour de nombreux week-ends et les vacances).

Je ne sais pas pour vous mais en ce qui me concerne, j’ai souvent ressenti et ressent encore, dans ces moments là, le sentiment affreux de « ne pas savoir quoi faire ni quoi dire ». Je me sens démuni devant la tristesse, le chagrin ou la colère de mes enfants quand vient l’heure de me séparer d’eux.
  • Léo pleurait souvent lorsque nous le laissions chez sa nourrice… et, depuis ses 2 ans et demi, il a de gros chagrins au moment de se séparer d’un parent (d’une famille) pour aller chez l’autre.
  • Lou, pendant une période, nous faisait aussi de grosses colères le matin lorsque nous la laissions à la crèche (dans notre « ancienne vie »). Les mêmes colères d’ailleurs qu’elle nous a fait chez sa « nourrice de transition » pendant nos quelques mois « Bordelais ».
  • Lili elle n’a que 7 mois, pourtant sa période de la « crise d’angoisse » approche à grand pas (généralement autour de 8 mois) : elle va bientôt réaliser qu’elle est « distincte » de sa maman (sa figure d’attachement principale) et angoisser lorsque celle-ci disparaît.

POURQUOI PLEURENT-ILS QUAND ON LES QUITTE ?

Un petit article, issu du cahier de formation des assistantes maternelles Françaises (que la nourrice de Lou et Lili a eu la gentillesse de nous prêter) traite de ce sujet : il s’intitule « Pourquoi pleurent-ils quand on les quitte ? » et a été écrit par Anne Castineau et Chantale de Truchis-Leneveu.
Les auteurs commencent par y expliquer que « Les enfants sont comme nous : avant de voir ce qui commence, ils regrettent déjà ce qui s’achève ».
Selon elles, la tristesse des enfants ne provient pas forcément du fait de nous quitter, mais plutôt du fait de quitter un situation plaisante (être avec nous :-) ) pour une autre… dont ils ne savent pas encore si elle sera plaisante.
Notre expérience avec Lou (qui a bientôt 3 ans) donne du sens à cette explication : elle n’a plus aucun signe d’appréhension ou de tristesse le matin, depuis que nous l’emmenons chez sa « nouvelle nounou ». Sûrement parce qu’elle sait qu’elle va passer une très bonne journée ce qui n’était pas forcément le cas avec sa nourrice précédente.
Selon les auteurs, il est normal que cette tristesse au moment de la séparation puisse se transformer en colère car « Ce qu’il perd en se séparant de nous, même pour un court instant, c’est un sentiment de toute puissance sur ses parents. Il se sent dépossédé. Et pour cause ! S’il tient tant à nous avoir sous la main, c’est qu’il n’imagine pas qu’on puisse l’aimer… « de loin ». (…) Françoise Dolto disait “un enfant doit s’enraciner dans ses parents”. Autrement dit, se convaincre de la permanence de leur amour, même quand ils sont absents. S’ils sont nés pour le découvrir, les petits ne se laissent pas convaincre en une seule fois ».
Très franchement, nous n’avions pas conscience de ce « sentiment de toute puissance que les enfants ont sur leur parents… ça explique bien des choses ! (mais c’est un au autre débat ;-) )
Dans ce passage en tout cas, les auteurs nous font réaliser qu’il faut prendre en compte les facteurs temps et stade d’évolution psycho-affectif de l’enfant : les « crises » d’angoisses commencent vers 8 mois et s’atténue avec le temps et la répétition. A un certain stade de maturité, l’enfant doit certainement se dire « depuis tout ce temps, papa et maman sont toujours là le soir pour venir me chercher après la nounou/l’école… c’est qu’ils doivent vraiment m’aimer. Je n’ai plus besoin d’être triste ou inquiet quand on se sépare ». J’ai d’ailleurs découvert récemment que c’est généralement entre 5 et 6 ans que l’enfant est prêt à se séparer de ses parents pour quelques jours : en vacances chez ses grands parents ou en colonie.
Les auteurs poursuivent : « Tout ce que nous savons (que nous les retrouverons bientôt, que les personnes à qui nous les confions sauront leur apporter tendresse et attention), eux ne le savent pas. C’est pourquoi nos mots, nos explications, même s’ils restent sans effet sur le moment, seront pour plus tard des « munitions », des réserves pour comprendre les avantages de la situation. Il se peut que, jour après jour, ils attendent qu’on leur répète les même mots, comme ils aiment qu’on leur relise la même histoire, quitte à pleurer bien fort pour obtenir satisfaction ».
Ce passage me rassure ! malgré les pleurs que je n’arrivais pas à consoler, ils n’étaient pas vains mes « tu va voir, tu vas bien t’amuser, tu vas faire plein de choses », « Papa doit travailler mais ce soir nous aurons plein de temps pour jouer et se faire des câlins » ou “ne soit pas triste mon poussin tu vas passer une super semaine avec maman et dans 6 dodos tu reviens”. Pour Léo, J’espère sincèrement que, comme le disent les auteurs, mes paroles lui fournissent des « munitions » pour combattre sa tristesse. Et même si je sais que son chagrin ne dure jamais bien longtemps, quel déchirement sur le moment !
L’article se termine par ces mots : « Faire place à tous ces sentiments, accepter qu’ils s’expriment avec violence quand les mots manquent pour les exprimer autrement, y répondre doucement en prenant tout son temps, sont autant de façon d’accompagner notre enfant sur le chemin qui est le sien. Il n’attend que notre confiance pour s’élancer ».
On en revient au concept de savoir « accueillir les émotions » de ses enfants : accepter qu’ils soient tristes leur montrer que nous comprenons cette tristesse. Notre force et notre confiance en eux dans ces moments là les aiderons à mieux vivre les prochaines séparations.
Cet article est très intéressant…mais un peu court : je reste sur ma faim. J’aimerais vraiment trouver d’autres pistes qui permettent d’apaiser ces « gros chagrins au moment de la séparation ».
Olivier de Supersparents.com

Au fait, n’hésitez pas à visiter aussi leur propre Blog : www.supersparents.com

Avez-vous des trucs, des astuces, des conseils ?

mardi 27 août 2013

Encore une superbe journée... mardi 27 août 2013


Encore une superbe journée
mardi 27 août 2013


J'accueille Gédéon à 7 H 30... Monsieur est grognon !!! Une poussée dentaire ? l'appel du ventre ? C'est qu'il est affamé mon pépère... il engloutit son biberon. Ensuite, je l'installe sur le tapis de jeux... il n'y reste à longtemps, il voyage dans toute la pièce, il déballe les caisses de jeux, les livres... il a la patate ce petit !


8 H 00... Mathurin frappe à la porte. Il est un peu retissant aujourd'hui, il resterait bien avec papa. Je lui dis "va dans la cuisine, il y a Mr Y !"... Méconnaissable... un "au revoir" à papa de loin, il est prêt.

Nous écoutons le cd "tout doux" de Véronique Jeannot et Gédéon prend la direction de son lit.

Avec Mathurin, nous allons dans le jardin... Un peu de balançoire, un peu de bac à sable, un peu de cabane, un peu de ballon, un peu de tracteur, un semblant  de trampoline... Albert, le papa de Mr Y, nous monte un abri de jardin. Mathurin passe son temps à lui demander : "papy, t'es où ?"... 


Au réveil de Gédéon, nous nous préparons pour une promenade au CRAPA de Saint-Sébastien-sur-Loire, avec Clémentine et son fils... nous allons voir les poneys (Pompon pour Mathurin), les chevaux et nous prenons la direction des jeux... des tours de toboggans, de jeux à ressorts. Les enfants sont bien dans ce beau parc et nous aussi.


Après le déjeuner, Mathurin est épuisé. "Sofy, dodo... Sofy, dodo"... J'exécute la demande. De retour dans la salle à manger... je ne trouve plus Gédéon qui était sur le tapis... Mon sang ne fait qu'un tour... je cherche partout... la panique me gagne... j'ai cherché partout, même dehors. Rien. A ce moment, j'entends un tout petit rire. Gédéon est dans le parc... j'ai oublié que mon parc est ouvert, la gourde ! Il se regarde dans le miroir, s'embrasse, se sourit. OUF !!! 




lundi 26 août 2013

Philomène a 4 ans, Mathurin est de retour et Gédéon le piste... lundi 26 août 2013



Philomène a 4 ans, Mathurin est de retour 
et Gédéon le piste
lundi 26 août 2013



6 H 15 je m'éveille... j'suis anxieuse... Mathurin est de retour ! Attention, ce n'est pas qu'il est bien méchant... C'est un enfant sensible et trois semaines avec maman et papa, la séparation pourrait être difficile. 

7 H 30, j'accueille Gédéon... nous prenons le biberon tranquillement et confortablement installés dans le canapé.

8 H 00, Mathurin frappe à la porte... "coucou Sofy !!!"... Il entre, cherche Mr Y... il est prêt... pas d'appréhension à quitter papa... Il est bien... qu'il a évolué pendant ses trois semaines de vacances. Il parait plus posé.


Donc, nous chantons (enfin "je") et mimons les comptines à gestes... 

Je couche Gédéon et je prends la direction du jardin avec Mathurin... le bonheur !!! je l'installe sur la balançoire... il rit, mais il rit à s'en décrocher la mâchoire. Puis joue dans la cabane, il ouvre et ferme les volets et reste un bon moment dans le bac à sable.

Gédéon nous rejoint... aïe aïe aïe... il a mal aux quenottes... satanées dents !  Néanmoins, ça ne l'empêche pas de jouer. Je l'installe au sol, sur le tapis... je pars préparer le repas... Silence... oh oh... ce n'est pas normal. Je vois Gédéon qui grimpe sur un module du parcours de motricité (mini toboggan)... Impressionnant ! Il monte par la force des bras. Un vrai costaud ! Il a suivi Mathurin toute la matinée... ce dernier est un vrai moteur pour Gédéon.


L'heure de manger. Mathurin mange des pommes de terre, des courgettes et une demi-tomate le tout cuit à la vapeur avec du rôti de porc et un coulant au chocolat... et oui, aujourd'hui Philomène fête son quatrième anniversaire. Gédéon a goûté le gâteau, mais n'a pas apprécié du tout.
Merci les enfants, j'ai passé une bonne journée..


dimanche 25 août 2013

Recette de la soupe froide de carottes, oranges et tomates


Recette de la soupe froide

de carottes, oranges et tomates

pour 4/5 personnes

                                                 

Ingrédients :
- 650 g de carottes
- 2 tomates bien mûres
- 3 oranges non traitées
- 1 échalote
- 2 cuillères à soupe de vinaigre Balsamique
- sel, poivre
- eau (facultatif)

                                                      
Épluchez, coupez en rondelles, lavez et cuisez les carottes à la vapeur.

Pelez à vif les oranges et levez les suprêmes des agrumes, en prenant bien soin d'enlever les pépins.

Pelez les tomates

Mixez les carottes, les suprêmes des oranges, les tomates et l'échalote, le vinaigre et un ou deux verre(s) d'eau (pour liquéfier un peu le produit)

Ajoutez le sel et poivre à votre convenance

Servir très frais


vendredi 23 août 2013

Guirlande de fanions sans couture et pas cher !!!


Guirlande de fanions
sans couture
et
pas cher !!!

Matériel :
- tissu de récupération ou papier ou sac plastique (ce que vous avez sous la main)
- de la ficelle de coton
- un morceau de carton relativement rigide (de récupération bien sûr !)
- une paire de ciseaux
- de la colle pour textile ou/et papier ou/et plastique
- quelques pinces à linge pour les tissus récalcitrants






1 - Tracez un triangle de 18 cm sur du carton relativement rigide (ce qui vous servira de patron), puis découpez-le.


2 - Cherchez dans la maison des vieux tissus, vêtements inutilisés, sets de table en papier ou encore des sacs en plastique...
Posez le patron en carton sur le support de votre choix et tracez le triangle à l'aide d'un stylo Bic.
Découpez les triangles à l'aide des ciseaux


3 - Collez les triangles sur la ficelle à 4 cm d'intervalle



  

 C'est prêt !


Voilà un p'tit air de fête, au moindre coût !

Il fait beau, il fait chaud... jeudi 22 août 2013


Il fait beau, il fait chaud...
jeudi 22 août 2013



Gédéon arrive à 7 H 45... comme à son habitude, il est de bonne humeur, mais aussi affamé. Une fois le biberon pris et changé... direction les jeux. Après 1/2 heure, Gédéon montre des signes de fatigue : se frotte les yeux, est ronchon. Allez le lit !!! 1 h 1/2 de sieste... 

Clémentine, assistante maternelle, aujourd'hui sans enfants, vient me rendre visite... nous avons décidé de nous promener au parc du CRAPA, boulevard des Pas Enchantés à Saint-Sébastien-sur-Loire (44). Il faut profiter de cette belle journée ! Nous nous apprêtons à partir, lorsque Léonie, mon Ex collègue de chez Bouygues, mais néanmoins mon amie, arrive avec son petit fils, Marcel. Donc, nous prenons tous le chemin du parc.

Nous installons Gédéon et Marcel dans la poussette double... Marcel est écroulé de rire, Gédéon observe l'environnement, tout en essayant de décrocher ses lunettes !!!. Philomène nous accompagne et se tient à la poussette... "c'est quand est-ce qu'on va aux jeux ???".
Après une belle promenade d'une bonne heure, nous rentrons afin qu'on puisse déjeuner.

Nous jouons avant la sieste... Gédéon vide tous les bacs (c'est un jeu... si... si...)... se déplace dans toute la pièce, même sous les meubles... aïe !!!! pas facile de se relever sous le meuble... "au secours Sofy !!!!"... Telle une héroïne je me lance à son secours... il est sauvé !!! 



Mais il est l'heure de la sieste... 2 H 30 de sieste, rien que ça... il faut que j'aille le réveiller en plus... Je n'aime pas réveiller les bébés... Gédéon dort à poings fermés, ronfle... J'allume la lumière.... Il dort encore... J'ouvre les volets.... Il dort encore... Je lui parle doucement... Il se dresse en position 4 pattes et se bascule en avant et en arrière... On peut dire qu'il est au taquet dès son réveil !

Gédéon prend son goûter, et après le change direction le jardin où il fait si bon.

Merci pour cette belle journée !

Lundi, Mathurin est de retour...





mercredi 21 août 2013

Rock'n'roll attitude... mercredi 21 août 2013


Rock'n'roll attitude
mercredi 21 août 2013


Aujourd'hui, petit bilan, Gédéon  :

- se retourne ventre/dos et fait même le soleil
- s'assied de façon stable
- passe de la position allongée à la position assise et sans aide !
- se déplace (pas encore de quatre pattes, mais a trouvé un autre moyen)
- éclate de rire
- essaie de communiquer
- imite l'adulte
- fait des bisous
- joue avec ses mains (au revoir, coucou, ainsi font font font, frappe dans ses mains...)
- manifeste ses sentiments (joie, colère...)
- saisie des objets 
- danse et essaie de chanter (pour maman ;-) )
- a un papillon du bonheur posé sur l'épaule


et dès qu'il entend du Rock, il se dandine... même que parfois Elvis prend possession de son corps !  si... si... Il est cool... il a la rock'n'roll attitude... yéééé !



A demain !


lundi 19 août 2013

BIG BISOUS... lundi 19 août 2013


BIG BISOUS
lundi 19 août 2013


Après un week-end chargé en émotions, où nous avons été obligés d'euthanasier notre fidèle chienne, qui avait perdu toute son autonomie (arrière train paralysé)... pas d'espoir de rétablissement, la décision fut difficile, mais nécessaire pour notre belle Retriever Labrador, qui se nommait "Rita".


Pas facile de répondre aux questions de Philomène... "mais pourquoi ?"... "Rita était très malade, elle a cessé de respirer et a dû partir aux pays des chiens, danser avec les étoiles et valser avec la lune..." C'est enjoliver la réalité, je vous l'accorde... mais la finalité reste la même.

Pour Carmen, Casimir et Ferdinand, ils ont encaissé... Ils sont plus à même à comprendre la situation, car plus âgés.

14 ans de présence, de total dévouement envers tous les membres de la famille, de décharges affectives... nous lui devions une fin décente.


Donc, la vie reprend ce matin à l'arrivée de Gédéon... le sourire aux lèvres, comme toujours. Une nouveauté depuis mercredi : il fait des bisous !!!! Il est craquant... je tombe sous le charme. 


Après le biberon, je chante la chanson pour se dire bonjour... et je me suis pris un vent extraordinaire...  Carmen et Philomène étant dans la pièce, Monsieur Gédéon, n'a d'yeux que pour elles !!! J'étais inexistante. 

Je lui propose un vieil imagier d'animaux : il adore les chatons, les poules... il a quand même une préférence pour les chats.

Sacré Gédéon... Merci quand même pour cette belle journée.



A demain !