jeudi 29 octobre 2015

Ma citrouille d'halloween ou ma Jack-o'-lantern

Ma citrouille d'halloween
ou ma Jack-o'-lantern 



Mère m'a offert une citrouille... hummmm... Halloween approche... attends voir... et si je faisais une Jack-o'-lantern !

Tout d'abord, j'ai pris mon plus beau stylo (mon stylo bic) et j'ai dessiné le chapeau, les yeux, les sourcils, le nez et la bouche.


J'ai pris un couteau avec une lame en acier et j'ai découpé le chapeau.
Attention ! Il faut y aller doucement... un accident est vite arrivé !




A l'aide d'une cuillère à soupe, j'ai vidé la citrouille.





Puis, je me suis attaquée aux découpes : yeux, sourcils, nez et bouche


 



Pour faire des détails plus clairs, comme les yeux et dents, il suffit d'enlever la peau orange à l'aide du couteau.


Et voilà le résultat !




Un peu d'histoire :

Halloween ou l'halloween (usage canadien) est une fête originaire des îles Anglo-Celtes célébrée dans la soirée du 31 octobre, veille de la Toussaint. Son nom est une contraction de l'anglais All Hallows Eve qui signifie the eve of All Saints' Day en anglais contemporain et peut se traduire comme « la veillée de la Toussaint ».
En dépit de son nom d'origine chrétienne et anglaise, la grande majorité des sources présentent Halloween comme un héritage de la fête païenne de Samain qui était célébrée au début de l'automne par les Celtes et constituait pour eux une sorte de fête du nouvel an. Halloween est ainsi connue jusqu'à nos jours sous le nom de Oíche Shamhna en gaélique. Elle est une fête très populaire en Irlande, Écosse et au Pays de Galles où l'on trouve de nombreux témoignages historiques de son existence. Jack-o'-lantern, la lanterne emblématique d'halloween, est elle-même issue d'une légende irlandaise.
C'est à partir du viiie siècle, sous les papes Grégoire III (731-741) et Grégoire IV (827-844), que l'église catholique introduisit la Toussaint en date du 1er novembre opérant un syncrétisme avec les fêtes de Samain.
La fête d'halloween est introduite en Amérique du Nord après l'arrivée massive d'émigrants irlandais et écossais notamment à la suite de la Grande famine en Irlande (1845-1851). Elle y gagne en popularité à partir des années 1920 et c'est sur le nouveau continent qu'apparaissent les lanternes Jack-o'-lanterns confectionnées à partir de citrouilles, d'origine locale, en remplacement des rutabagas utilisés en Europe.
Halloween est aujourd'hui célébrée principalement en Irlande, en Grande-Bretagne, aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Nouvelle-Zélande et en France. La tradition moderne la plus connue veut que les enfants se déguisent avec des costumes effrayants comme des costumes de fantômes, de sorcières, de monstres ou de vampires et aillent sonner aux portes en demandant des friandises avec la formule : Trick or treat! qui signifie « Farce ou friandise ! ». La soirée peut également être marquée par des feux de joie, des feux d'artifices, des jeux d'enfants, la lecture de contes horrifiques ou de poèmes d'halloween, la diffusion de films d'horreur mais aussi la tenue de messes anticipées de la Toussaint dans sa composante strictement religieuse.
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lundi 26 octobre 2015

Que c'est difficile de demander pardon !

Que c'est difficile de demander pardon !



Afficher l'image d'origineVous savez que vous avez dit une parole blessante ou avez mal agi… Vous avez envie de demander pardon, et en même temps, cela vous paraît insurmontable de vous excuser. Pourquoi est-ce si pénible ? Eclairage de Maryse Vaillant, psychologue clinicienne, auteur entre autres de l'ouvrage Pardonner à ses parents.
Demander pardon implique de reconnaître ses torts et d'accorder plus d'attention à l'autre qu'à soi-même. C'est vouloir préserver la relation, une démarche pacificatrice parfois difficile.

Demander pardon : difficile de reconnaître ses fautes

"Demander pardon, c'est reconnaître une faute" explique Maryse Vaillant, psychologue clinicienne. Or, nous préférons avoir raison et rejeter sur l'autre l'origine de notre faute : "C'est à cause de lui que j'ai commis une erreur". Ainsi, les enfants disent souvent: "C'est lui qui a commencé" ! Pourquoi accepte-on de reconnaître ses torts ? "En reconnaissant cette faute, on essaye d'intervenir sur l'autre afin que la relation ne soit pas rompue" souligne Maryse Vaillant.
"On préfère alors ne pas avoir raison mais maintenir la relation en arrêtant d'imputer à l'autre la responsabilité de la crise" précise-t-elle. "Demander pardon, c'est faire un pas en arrière par rapport à son propre narcissisme, accorder plus d'attention à une relation qu'à soi" indique la psychologue. Ce qui n'est pas sans difficulté : "Avouer que l'autre est plus important que soi-même nous met une position psychique difficile. Il est difficile de quitter son propre narcissisme, d'abandonner sa position de victime et de reconnaître sa part d'erreur" ajoute-t-elle.
D'autant plus si l'on n'a pas voulu s'excuser pendant des années ! Après, "la difficulté dépend de la chose qu'on se reproche et de la relation avec la personne que l'on estime avoir lésée" estime la psychologue.

Demander pardon : un acte centré sur la relation

"Demander pardon est un acte en deux mouvements" explique Maryse Vaillant.
Le premier mouvement est centré sur soi : "Je regrette mes actes, mes paroles…". Il peut être motivé par un besoin de paix intérieure, une culpabilité.
Le deuxième est centré sur l'autre : "Je voudrais que tu me pardonnes la souffrance que tu as ressenti de mon fait". C'est un besoin de paix relationnelle.
"Ainsi, dans une demande de pardon, il est bien d'exprimer le regret de sa propre faute puis de présenter ses excuses, son désir de pardon, sans obliger l'autre à vous pardonner" conseille Maryse Vaillant. Certains n'y arrivent pas. "Les personnalités paranoïaques sont incapables de reconnaître leurs fautes car elles ont toujours raison, ce sont toujours elles les victimes" dit Maryse Vaillant. A l'inverse, les personnes plus dépressives ont tendance à trop s'excuser. Le conseil de la psychologue ? Il ne faut pas demander pardon pour tout et rien, il y a ces crises qu'il ne faut pas éviter.

Demander pardon : les bons mots et la bonne forme

Une fois la démarche entamée, la décision prise, il va falloir sauter le pas… Et ça n'est pas toujours évident se savoir comment s'y prendre…
"Il est important de trouver le bon moment et la bonne forme pour demander pardon" explique Maryse Vaillant. Faut-il demander pardon par écrit ou par oral ? "Cela dépend de l'ampleur de la faute et du ressentiment installé autant que du sentiment de culpabilité" estime la psychologue. La forme orale convient dans des conflits banaux. "Par contre, si l'on est fâché avec sa soeur depuis 10 ans, une lettre est nécessaire. Cette forme permet de peser ses mots, de garder une trace et on donne à la personne qui reçoit la lettre le temps de s'en saisir, de réfléchir" explique-t-elle. Les mots comptent aussi. "Il faut éviter le mot pardon, qui est très banalisé" dit Maryse Vaillant. Essayez plutôt de dire : "Je suis désolé(e), je n'aurais pas dû te parler comme ça, te faire cela, je regrette ce que j'ai dit ou ce que j'ai fait…". Enfin, pour cette psychologue, il convient de "donner une certaine solennité à la demande de pardon si l'affaire est publique".
Pour finir, retenez que : "Demander pardon, reconnaître ses torts, ce n'est pas facile mais c'est une position adulte, de grande maturité, qui apporte la paix intime" indique Maryse Vaillant. A ne pas oublier !
Anne-Sophie Glover-Bondeau
Sources : Doctissimo - Interview de Maryse Vaillant, 11 août 2011

Chez l'enfant 

Le pardon... À partir de quand?

Être capable de dire pardon, ou de pardonner un ami, vient avec la compréhension du « droit à l’erreur ». C’est un concept qui est compris assez tard, après 4 ans. Lorsque votre enfant comprend qu’il a le droit de se tromper, vous pouvez l’inciter à voir que les autres aussi ont donc le droit de se tromper.

Comment l’aider ?

Très souvent, quand on dit à un tout-petit : « Va t’excuser, dis-lui que tu regrettes et fais-lui un bisou. », il le fera parce qu’on le lui demande, mais pas parce qu’il a compris. Cela devient une petite routine par laquelle il faut passer pour retourner jouer.
  • Expliquez-lui qu’il a le droit à l’erreur. Cela le sécurisera et il deviendra capable de s’excuser et de pardonner aux autres.
  • Partez de sa propre expérience pour lui faire comprendre la peine de l’autre. Dites-lui, par exemple : « Tu te rappelles quand ta petite sœur a brisé ton camion? Tu as eu beaucoup de peine et tu étais content qu’elle s’excuse. »
  • Apprenez-lui qu’il y a des conséquences lorsqu’il pose un geste et qu’il peut réparer son geste pour s’excuser. S’il vole le jouet d’un ami, demandez-lui de le rendre et accompagnez-le dans sa demande de le réemprunter. S’il brise le jouet d’un ami, enlevez-lui le jouet et demandez-lui d’en donner un autre pour le remplacer. S’il tape son ami, faites-lui mettre une petite débarbouillette froide là où ça fait mal et demandez-lui de le consoler, s’il est assez grand pour le faire.
  • Essayez de comprendre les circonstances qui ont entraîné le mensonge ou un geste déplacé/maladroit ou une parole blessante, en particulier si celui-ci a causé du tort et si votre enfant en est conscient (après 4 ans). Aidez-le à comprendre ces circonstances lui aussi et croyez en ses bonnes intentions. Vous pouvez aussi l’aider en lui expliquant pourquoi un mensonge peut poser problème. Dès que l’enfant parvient à reconnaître la vérité, vous êtes sur la bonne voie ! Apprenez-lui qu'il y a des conséquences à ses actes, à ses paroles et qu'il peut réparer en demandant pardon.
Tous nos actes entraînent des conséquences : positives ou négatives. On a tous le droit de se tromper, de s'égarer... mais ça fait partie des valeurs éducatives d'inculquer à nos enfants de demander pardon et aussi de pardonner. 
Les adultes doivent montrer l'exemple !


Révision scientifique : Solène Bourque, psychoéducatrice


Mise à jour : Novembre 2014


Pardonner à ses parents 
de Maryse Vaillant. 
Ed Pocket Evolution. 
247 pages, 6,10 euros
Pardonner à ses enfants. De la déception à l'apaisement. 
De Maryse Vaillant et Sophie Carquain. 
Ed Albin Michel. 
185 pages, 14 euros

samedi 24 octobre 2015

Rôti de porc moutardé aux champignons

Rôti de porc moutardé aux champignons
pour 6 personnes



Ingrédients :

  • 1 rôti de porc d'environ 1 kg
  • 2 oignons rouges
  • 1 échalote
  • 2 gousses d'ail
  • 2 branches de thym
  • 2 feuilles de laurier sauce
  • 200 ml de vin blanc
  • 600 ml d'eau
  • sel
  • poivre
  • matière grasse : beurre ou/et huile d'olive (au choix)
  • 800 g de champignons de Paris frais ou congelés
  • 8 pommes de terre 
  • 2 cuillères à soupe de crème fraîche
  • 2 cuillères à soupe de moutarde (classique ou ancienne ou un mixte des 2)
Matériel :
  • Une cocotte minute (autocuiseur)
  • Un four
  • Un couteau 
  • Un économe
  • Une spatule



  • Faites dorer sur toutes les faces du rôti de porc dans un peu d'huile d'olive 



  • Retirez le rôti et réservez-le



  • Émincez les oignons, l'échalote
  • Écrasez simplement l'ail


 

  • Faites revenir, dans un peu de matière grasse, les oignons, l'échalote, l'ail, le thym et le laurier sauce
  • Réintroduisez le rôti dans la cocotte minute
  • Ajoutez 200 ml de vin blanc et 600 ml d'eau (mi hauteur du rôti)
  • Salez et poivrez
  • Laissez tourner la cocotte minute 15 minutes



  • Ouvrez la cocotte minute
  • Ajoutez les champignons entiers pour les congelés (car ils sont petits) ou préalablement lavés et émincés pour les frais
  • Épluchez, lavez, coupez les pommes de terre et ajoutez-les dans la cocotte minute
  • Laissez tourner la cocotte minute 15 minutes



  • Ouvrez la cocotte minute
  • Sortez le rôti et mettez-le dans un plat allant au four
  • Dans un bol, mélangez deux cuillères à soupe de crème fraîche et deux cuillères à soupe de moutarde
  • Badigeonnez le rôti de cette préparation (l'excédent sera mélanger avec les champignons/pommes de terre.



  • Mettez la garniture autour du rôti
  • Enfournez 15 minutes thermostat 7 (210°)



  • Voilà c'est prêt !





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vendredi 23 octobre 2015

Le sentier des daims - Le parc des légendes

Le sentier des daims
Le parc des légendes

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Quelle belle surprise !!! Je m'attendais un tout petit parc,  insignifiant... mais que nenni ! Il faut prévoir une journée pour voir le parc dans sa globalité. Est-ce le nom qui porte à confusion ? Est-ce un manque de communication ? Nous sommes arrivés vers 14 H... Et nous n'avons pu faire qu'un parcours et assister à qu'un spectacle, car l'emploi du temps de dame Carmen nous obligeait à rentrer pour 17 H 30. Nous y retournerons pour voir l'ensemble du parc animalier et des spectacles.

Outre le parc animalier, nous découvrons tout au long des parcours les légendes du "sentier des daims" évoquant les aventures de Gaby, un jeune berger ayant trouvé les portes menant au pays des légendes et de "chateauloups" racontant l'histoire d'une jeune demoiselle ayant apprivoisé des loups au coeur du moyen-âge...

Voici notre visite en photos :





Ils ont tout compris... un client bien accueilli, est un client qui se sentira important, écouté, choyé... En bref il aura le goût de revenir.
Au sentier des Daims l'accueil est là... et oui j'ai envie d'y revenir !

 L'entrée du parc :



Gaby, jeune berger :
  

Spectacle de qualité : Le secret des loups... Philomène 6 ans a adoré !



  



 


Bravo aux acteurs !



Pressés par le temps, nous montons dans le train et cheminons vers le parcours numéro 2










 La reine des Korrigans...





 

Mais c'est une...




et toi... quel est ton animal totem ?




















 Oh... mais qui est-ce ?


Des ratons laveurs


Une poule d'ornement


 Une belle famille de cervidés



... licorne !


  

  

 
  


  

  



 




























 




 Chapelle de Saint-Hubert



Et ça continue encore et encore...







  



















  

 Spectacle de Noël : cliquez ici

  


 Les cigognes sont arrivées...

 

 
  
  


 
  


Nous avons passé un excellent après-midi !


Où ?

Le Sentier des Daims
La Poitevinière
44320 FROSSAY

Comment les contacter ?

Téléphone : 02 40 39 75 06