1 litre de lait entier bio ou lait de coco ou 500 ml de lait concentré non sucré et 500 ml de lait de coco
1 gousse de vanille
100 g de perles du Japon
80 g de cassonade
1 pincée de sel
Coupez la gousse de vanille en 2 dans le sens de la longueur.
Séparez la gousse en 2
Raclez l'intérieur de chaque demi-gousse à l'aide de la lame d'un couteau pour en extraire les graines.
Ajoutez les graines et la gousse de vanille au lait, sucre et sel
Portez à ébullition
Versez les perles du Japon
Baissez le feu au minimum
Laissez cuire 30/35 minutes (mélanger au fouet plat régulièrement)
Servez tiède ou froid
Dressez dans une verrine avec des fruits de saison (ananas, fraises, oranges... )
Accompagnez d'une salade de fruits
Accompagnez d'un coulis de fruits ou chocolat
Tout simplement nature
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Le tapioca, aussi appelé "perle du japon" ou "arrow-root" au Brésil, est en fait le conditionnement issu de la fécule extraite de la racine du manioc amer séchée, puis traitée.
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Le rhizome dont il provient contient un jus laiteux dont la teneur en poison est éliminée au cours du processus de lavage et de séchage. Son nom, emprunté au portugais, vient du tupi et du guarani (langues indiennes du Brésil) et signifie "résidu séché". On le mange au petit déjeuner en Chine et on le boit sous forme de thé à Taiwan. En Thaïlande, il sert à fabriquer des assiettes biodégradables...
Les "perles" dures et blanches du tapioca, rondes, irrégulières, partiellement solubles dans l'eau, deviennent transparentes à la cuisson. Fades de goût, elles sont utilisées pour épaissir et lier soupes, sauces et ragoûts, car elles prennent la saveur du mets auquel on les ajoute.
Côté nutrition : Valeur nutritionnelle pour 100 g : calories : 360 kCal ; protides : 1,50 g ; lipides : 0,60 g ; glucides : 86 g. Le tapioca est faible en vitamines et sels minéraux mais riche en calcium : 100 g de tapioca équivaut à un yaourt. Très digeste, il remplace les farines contenant du gluten.
Côté cuisine : Le tapioca est parfait pour épaissir un potage ou cuit dans du lait. En remuant pour éviter la formation des grumeaux..
Le tapioca est une fécule, utilisée en cuisine, produite à partir des racines du manioc amer (toxique avant traitement) séchées puis traitées. Son goût est neutre. On l'utilise notamment comme épaississant pour les soupes et les desserts.
Le tapioca ordinaire se présente sous forme de grains irréguliers d'environ 3 mm. Les « perles du Japon » une spécialité culinaire en forme de petite billes de 3 mm fabriquées à partir de fécule de manioc, sont nommées sagu au Brésil.
Le tapioca, formé d'amidon, a la particularité spécifique de gonfler à froid.
Préparer la solution détergente avec de l'eau chaude
Démonter le biberon
Immerger le biberon, la bague, la tétine et le capuchon dans la solution détergente
Frotter soigneusement le biberon intérieur, extérieur et les annexes. Insister sue le fond du biberon, le pas de vis et l'intérieur de la tétine.
Rincer à l'eau courante chaude
Laisser sécher l'égouttoir (attention : ne pas essuyer avec un torchon)
12 - Remettre en état le poste de travail
Consommation du biberon
Tout biberon sorti de l'enceinte réfrigérée doit être consommé dans un délai d'une heure.
Le réchauffement d'un biberon avant sa consommation ne s'impose qu'en cas de conservation à un température inférieure ou égale à 4°C. Si le biberon est réchauffé, ce délai de consommation est ramené à 30 minutes.
Après le début de sa consommation par l'enfant, tout biberon non terminé dans un délai d'une heure doit être jeté.
Ingrédients : - 1 litre de lait entier - 80 g de semoule de blé fine - 6 cuillères à soupe de sucre vanillé ou pas
Faites bouillir le lait avec le sucre A ébullition, ajoutez la semoule de blé Laissez cuire 4 minutes Attention, ne soyez pas tenté d'ajouter de la semoule... elle s'épaissit en refroidissant !
Longtemps considéré comme un aliment indispensable à notre équilibre alimentaire, et source de santé, le lait n’a résolument pas la cote dans des régimes anti-cancer. Faut-il pour autant le diaboliser ? Le Dr Eric Ménat, médecin spécialisé dans les maladies de la nutrition, et diplômé en carcinologie clinique nous aide à faire le tri dans ces idées reçues.
La consommation de lait de vache favoriserait l’apparition de certains cancers.
Vrai. Des études ont montré que les grands buveurs de lait font plus de cancers de la prostate. Probablement parce que le lait contient des facteurs de croissance, pouvant de toute évidence faire croître les tumeurs. (Ce sont ces mêmes facteurs de croissance qui font prendre 250 kilos en 18 mois à un veau !) Le problème vient également de l’alimentation actuelle des vaches, composée le plus fréquemment d’ensilage contenant des pesticides, et des excès d’oméga-6 pouvant augmenter la teneur en xéno-oestrogènes dans le lait. Ces hormones ont une incidence sur les cancers hormono-dépendants, comme celui de la prostate, mais aussi du sein, de l’ovaire et du corps de l’utérus. C’est d’ailleurs même encore plus vrai pour le cancer du sein, car le lait est aussi très riche en acides gras trans, augmentant encore les risques pour ce cancer. Quant à l’impact du lait sur tous les autres cancers, les études manquent. Mais les facteurs de croissance pouvant agir sur les tumeurs, en général, il y a des raisons de se méfier.
Le lait protège du cancer colorectal.
Vrai et faux. D’une certaine façon oui, car le calcium qu’il contient se combine aux hydrocarbures (molécules dérivées de la cuisson) responsables du cancer colorectal. Ainsi, il les rend moins toxiques, et favorise leur élimination. Mais le calcium ne se trouve pas que dans le lait. On peut donc très bien se protéger du cancer colorectal en ne buvant pas de lait, mais en consommant des compléments alimentaires ou d’autres aliments riches en calcium. Exemple : une portion d’emmental de 40g contient 474 mg de calcium. 200g (ou 20cl) de lait entier UHT, n’en contiennent que 238 mg
Il faut bannir le lait de notre alimentation.
Plutôt vrai. Les personnes ayant déjà eu un cancer, ou ayant un risque de cancer familial, ou dont le PSA est très élevé, ont toutes les raisons de l’éliminer de leur alimentation. Les autres non. Mais elles doivent quand même s’interroger sur le fait que l’homme est le seul animal à continuer à boire du lait une fois sevré. Et ne pas oublier que le lait contient plus d’éléments néfastes pour la santé que de bons apports, comme le calcium. Et que ce calcium, qui nous est indispensable, il est possible de le trouver ailleurs, dans d’autres aliments (400 mg de calcium dans 100 g de sardines à l’huile égouttées, 201 mg de calcium dans 150 g de bar, 200 mg de calcium dans 100 g de tofu) voire d’autres produits laitiers (382, 5 mg de calcium dans 30 g de parmesan, 254 mg calcium dans 40 g de fromage des Pyrénées, 240 mg de calcium dans 40 g de roquefort). Le lait n’est donc indispensable à personne.
Les yaourts et fromages sont plus recommandables que le lait de vache.
Vrai. Ils sont nettement plus intéressants, car ils contiennent moins de facteurs de croissance que le lait, et plus de calcium. De plus, le yaourt est riche en probiotiques, excellents pour la santé. Son lait est fermenté, donc plus digeste et meilleur pour la flore intestinale. Attention en revanche concernant les fromages qu’il faut choisir AOP, AOC, sous peine de retomber dans des produits fabriqués à partir de lait de vaches nourries à l’ensilage.
Les laits végétaux ( riz, avoine, amande…) et de petits animaux sont meilleurs que le lait de vache.
Vrai. Surtout les laits végétaux qui, en effet, ne contiennent pas de facteurs de croissance. De plus, ils sont la plupart du temps bios, très digestes et modérés caloriquement. Quant aux laits de chèvre et de brebis, eux aussi contiennent des facteurs de croissance, mais en moindre quantité. (Une chèvre et une brebis n’excèdent pas les 60 kilos). Ils sont forcément meilleurs, et recommandables aux personnes qui ne pourraient se passer de lait.
Un lait de vache écrémé ou sans lactose entraîne moins de risques de cancer.
Faux. Un lait écrémé ou demi –écrémé aura l’avantage de contenir moins d’acides gras trans. Et un lait sans lactose, d’être dépourvu de sucre. Ce qui présente toujours un avantage. Mais attention les facteurs de croissance sont, eux, toujours présents, et menaçants dans le cadre d’un cancer.
Les campagnes de santé publique font fausse route en recommandant de consommer trois produits laitiers par jour.
Vrai. Il n’y a pas de justification nutritionnelle à ces campagnes qui sous-entendent que seuls les produits laitiers sont source de calcium. Or, 50 % de nos besoins en calcium proviennent déjà d’autres aliments. Les produits laitiers doivent donc simplement combler les 50 autres % de ces besoins. La recommandation devrait donc être divisée par deux, et inciter à consommer un produit laitier et demi, deux maximum par jour. L’idéal pour combler ses besoins en calcium, en évitant les désavantages du lait, est de consommer un yaourt et une portion de fromage AOP ou AOC par jour, pas plus.
30 gr de beurre doux fondu + 2 c. à café pour le moule
5 pommes
Mélangez les oeufs, la farine et le beurre fondu Faites tiédir le lait avec le sucre Mélangez la première préparation au lait sucré Ajoutez le rhum Épluchez, évidez et tranchez les pommes (à l'aide d'un pèle-pomme c'est simple et rapide) Beurrez un plat à gratin Versez la préparation au fond du plat Répartissez les pommes sur la préparation Enfournez 1 H / 1 H 10 à 190°C
Ingrédients pour le gâteaux : - 5 cuillerées à soupe de farine - 4 cuillerées à soupe de sucre - 3 cuillerées à soupe de lait - 2 cuillerées à soupe d'huile (tournesol) - 1 oeuf - 1 sachet de levure - 4 belles pommes Ingrédients pour le glaçage : - 40 g de beurre doux - 50 g de sucre - 1 oeuf - 1 sachet de sucre vanillé (maison si possible* voir ci-dessous)
Mélangez la farine, la levure, le sucre et le sel. Ajoutez l'huile et le lait. Travaillez le tout au batteur. Beurrez le moule à manquer. Mettez la pâte, puis couvrez de morceaux de pommes. Enfournez thermostat 180°C (6) pendant 20 minutes Quand le gâteau commence à lever, ajoutez la crème ci-dessous : Faites fondre 40 g de beurre doux Ajoutez 50 g de sucre, 1 oeuf, 1 sachet de sucre vanillé. Ré enfournez le gâteau jusqu'à ce qu'il soit bien doré (environ 20 minutes).
* Recette du sucre vanillé maison
attention très difficile
Dans un grand bocal (type cassoulet), versez un kilo de sucre (blanc ou roux) et ajoutez 2 gousses de vanilles coupées en deux, dans le sens de la longueur, et préalablement égrainées.
Les étymologistes rattachent ce mot au francique
« wafla ». Le terme « walfre » indique vers 1185 une « sorte de
pâtisserie cuite entre deux plaques divisées en cellules qui lui
impriment un dessin en relief ». En 1433, le Compte de la bonne maison des Ladres, répertoriant les ustensiles de la cuisine, indique un fer à « waufres » mais le Ménagier de Paris utilisait déjà l'orthographe « gauffre ». Jean Nicot7 donne « goffre » ; le Dictionnaire de l'Académie française, à partir de la 4e édition (1762) supprime le doublement du « f » tandis que Jean-François Féraud dans son Dictionnaire critique de la langue française ajoute un accent circonflexe (gaûfre).
Depuis le XIXe siècle, l'orthographe usuelle est « gaufre »
- 500 g de farine - 2 pincées de sel - 6 oeufs - 150 g de beurre doux - 3/4 de l de lait - 50 g de sucre en poudre 1 - Montez les blancs d'oeufs en neige, lorsqu'ils sont fermes ajoutez 30 g de sucre et continuez à fouetter quelques secondes pour serrer les blancs.
2- Mélangez les jaunes d'oeufs, le lait, 20 g de sucre, le beurre (ramolli au micro-ondes), la farine et le sel 3 - Ajoutez les blancs d'oeufs en neige à l'aide d'un fouet
4 - Votre pâte est prête !!!!
5 - 3 mn - 3 mn 30 dans le gaufrier préalablement huilé avec de l'huile de tournesol
Garniture : Crème de caramel au beurre salé de Guérande, chocolat noir fondu, confiture, chantilly, sucre glace (sucre mixé), pâte à tartiner à la noisette ou en dessert avec une boule de glace/chantilly ou une couche de chantilly chocolat, une couche de bananes, un couche de chantilly chocolat.